Partir en safari en mars et avril
Les meilleures destinations de safari pour un voyage en mars et avril
Le printemps arrive en Europe mais le temps est encore incertain et la saison du ski touche à sa fin, voilà de bonnes raisons de partir en safari en mars et avril. En avril, de très nombreux pays européens sont en vacances, il y aura donc certainement plus de voyageurs.
En Afrique Australe, la saison des pluies touche à sa fin et certaines zones bénéficiant d’un climat aride sont superbes, couvertes d’herbes vertes et de fleurs. Pour les zones avec un climat plus humide, il vaut mieux attendre encore un peu.
C’est la fin de la saison sèche en Asie, et donc la meilleure saison pour optimiser les chances de voir le tigre en Inde.
Namibie
La Namibie bénéficie d’un climat très sec et s’il y a encore quelques pluies en mars et avril, vous aurez globalement une météo très agréable et très peu de visiteurs.
La plupart des animaux ont eu leurs petits, et toutes les générations sont éclatantes de santé. La nature est encore verdoyante et la plupart des animaux qui avaient migré commencent à revenir vers le Sud.
La température est très agréable, même si les journées commencent à raccourcir. A partir du changement d’heure du premier dimanche d’avril, le soleil se couche plus tôt. (lire la suite)
Hwange et Chutes Victoria au Zimbabwe
Il est encore un peu tôt pour profiter des parcs du Nord comme de Mana Pools et Matusadona dans les meilleures conditions. Par contre Hwange est couvert d’une belle herbe verte et les animaux y sont nombreux. En mars, les derniers orages offrent un spectacle fantastique sur les plaines verdoyantes de Hwange. Les températures commencent à descendre mais restent très agréables.
Les Chutes Victoria sont à leur maximum niveau débit : le spectacle est impressionnant, on voit les nuages de vapeur à des kilomètres et on entend le grondement de loin. (lire la suite)
Afrique du Sud
Mars et avril sont de bons mois pour envisager un safari combiné Sud / Nord en Afrique du Sud.
L’automne austral marque la fin de la belle saison sur la côte de Cape Town : il y a encore de très belles journées mais les nuages sont de plus en plus nombreux et les températures descendent.
A l’inverse, la saison des pluies se termine sur la côte et du côté de Kruger. Il fait doux, les journées sont clémentes, mais la végétation abondante ne facilite pas les observations. (lire la suite)
Botswana
En principe, les mois de mars et avril marquent la fin de la saison des pluies mais il y a encore des averses, de plus en plus rares. C’est une période particulièrement agréable dans les zones de désert, comme Makgadikgadi et Nxai Pans, ou le Kalahari. Les flamants roses nichent dans les pans, et le Kalahari est couvert d’une herbe haute qui ondule au gré du vent. Les animaux ont leurs bébés et vous assisterez à de nombreuses scènes de chasse, notamment sur les pans.
Les températures sont agréables de jour comme de nuit et surtout les tarifs sont encore alignés sur la basse saison, ce qui fait une différence importante au Botswana. (lire la suite)
Equateur – Galapagos et Amazonie
Mars et avril sont aussi de très bons mois pour prévoir un voyage combinant les Galapagos et l’Amazonie.
Aux Galapagos, si ce sont les mois où la pluie est la plus abondante, c’est toujours principalement sur les hauteurs et à cette période, l’eau est la plus chaude, ce qui permet de longues séances de snorkeling. Les pingouins sont très actifs dans l’eau, les oeufs de tortues marines et terrestres éclosent et les albatros arrivent sur Espanola. Côté Amazonie, ce sont peut-être les mois les moins pluvieux, même si cela reste toujours relatif en forêt équatoriale. (lire la suite)
Inde
En Inde, mars et avril marquent la fin de l’hiver, ou saison sèche, avant la saison de la mousson. Plus l’on avance dans l’hiver, plus la végétation se raréfie dans les parcs, et les animaux deviennent plus faciles à observer.
En avril, les températures montent et peuvent friser les 40° en journée. La visite des sites culturels en journée devient parfois fatigante. Par contre, la pression touristique diminue et on a moins une impression de foule même sur les sites les plus connus. Les animaux restent à proximité des points d’eau et sont donc faciles à trouver. (lire la suite)